samedi 3 mars 2018

Déc

LE PARTI COMMUNISTE D'ESPAGNE (PCE) RENOUE AVEC LE MARXISME-LÉNINISME

Pendant que le dirigeant du Parti Communiste Français monte une minable opération contre Georges Marchais, avec l’aide d’un refondateur de toujours qu’est Gérard Streiff, une opération visant à faire cautionner le pseudo eurocommunisme de Georges Marchais ; une opération dans laquelle Fitterman devient l’ami de Georges Marchais alors qu’il ne fut avec Rigoud que l’exécutant des basses oeuvres de Mitterrand contre notre parti et son secrétaire quand ce dernier et les communistes choisirent en 1983 de s’opposer au tournant de la rigueur et au plan Davignon de destruction de l’industrie française dont nous souffrons encore aujourd’hui. Ce fut avec l’aide de Berlinguer, du parti communiste italien, que Mitterrand lança avec Rigoud l’opération de déstabilisation de notre parti et de crise ouverte pour tenter d’empêcher notre sortie du gouvernement.
*Durant le même temps, toujours dans le cadre de l’eurocommunisme, Santiago Carillo, le secrétaire du parti  communiste d’Espagne alla encore plus loin dans la trahison en acceptant la solution monarchiste voulue par Franco et qui impliquait l’amnistie des franquistes, laissait en place tout son appareil et en revanche continuait à criminaliser les résistants basques. La crise ouverte aujourd’hui en Catalogne, les prisonniers politiques, tout cela est le fruit de cette trahison dans le cadre de l’eurocommunisme, comme l’a été la complicité de Berlinguer dans l’attaque de notre parti et la fin de ce parti, l’abandon du communisme.
Tandis que Pierre Laurent ne se cache même plus dans sa volonté de recommencer l’opération du dernier congrès du parti communiste français, premièrement après avoir décidé de ce congrès pour novembre de l’année prochaine, à la veille des élections européennes, il va comme il l’a fait pour le dernier congrès où il a lancé l’idée des primaires et nous a enfermé dans un débat stérile avec l’aide de ses complices refondateurs pour nous conduire jusqu’au vote Mélenchon sous le prétexte que nous aurions fait un score déplorable alors même que tout avait été fait pour nous enfermer dans une alternative entre primaire et soutien à Mélenchon, voici qu’il recommence en jetant en même temps que la convocation du congrès, sur fond de leurre de l’eurocommunisme d’un pseudo hommage à Marchais y compris en piégeant son fils, une manœuvre indigne, il annonce qu’il veut construire une liste de gauche avec Hamon, Mélenchon, et le NPA qui est visiblement l’inspirateur trotskiste de l’affaire,  tout en sachant le caractère illusoire d’une telle proposition. De surcroit après l’indigne émission piège de Léa Salomé il demande à être reçu à son tour pour y annoncer sa stratégie d’union illusoire et qui nous mènera à un congrès raté et à la fin de notre parti qui semble son but.
Pendant ce temps, les six partis communistes italiens nés de la stratégie eurocommuniste face à un parti démocratique qui est le prolongement de l’abandon du parti communiste italien, tentent de retrouver leur unité.
Pendant ce temps le parti communiste d’Espagne lui aussi tente de surmonter, comme on le voit ici la trahison eurocommuniste et renoue avec un parti communiste marxiste léniniste.
Samedi 2 d

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire